Une histoire de voix

Tu regrettes d’avoir raté la soirée karaoké du siècle? Tu n’as pas pu assister et encourager la prestation de tes amis de communication? Ne t’en fais pas, tu peux toujours vivre cet instant unique à travers ces lignes…!

Lundi 25 janvier 2016,18 : 30. Malgré le vent qui te fait greloter et la nuit tombée, tu te diriges vers la seule source de lumière chaleureuse qui anime le quartier Côte-des-Neiges: notre bonne vieille Maisonnée, qui est bondée. En passant la porte d’entrée, tu en prends plein les yeux, plein les oreilles. Chaque visage que tu croises est illuminé d’un sourire communicatif. Reste alors à rejoindre ta « team »… Bientôt, tu aperçois des têtes entourées d’un bandeau qui te rappelle quelque chose… Ce sont les Comm’, là-bas! À ta grande surprise, ils occupent la majorité des tables de la salle du fond : ils sont venus nombreux, et tous en forme! C’est alors que tu croises Ariane Laval, vêtue de son costume de scène aux couleurs de l’équipe. Entourée de ses coéquipiers, Ariane te confie être déterminée à nous offrir un show au top : « On va tout donner, ça fait au moins trois fois qu’on répète, on est prêts! » Plusieurs équipes passent… Les écrans diffusent les prestations en direct. Tous les yeux y sont fixés. Des yeux rieurs, ou bien écarquillés à l’écoute de certaines voix, mais aussi (il faut l’admettre) des yeux plissés par les fausses notes… 19:30 : Allez, c’est à nous. L’annonce de notre montée sur scène est recouverte par les encouragements enthousiastes des nombreux jeunes communicateurs.

Avant même que la musique ne soit lancée, un sentiment de fierté s’empare de toi. Regarde comme ils sont beaux, ces artistes! Regarde comme ils sont originaux, soudés, heureux et prêts à te donner du pur spectacle! Pour toi, ils ont déjà une longueur d’avance, puisqu’ils ne sont pas un duo ou un trio, comme les précédents adversaires. Et non, ils sont plutôt venus en bande! Catherine, Ariane, Jeanne, Stella, Laurie-Ève, Violeta, Marina et Bertrand. Tu applaudis, tu siffles, tu hurles, tu te donnes à fond pour les encourager, puis l’instrumental débute. Tu reconnais l’air de la célèbre chanson des White Stripes, « Seven Nation Army »! Tu es comme un fou! L’équipe a mis la barre très haut : une chorégraphie superbement exécutée, pas (ou peu!) de fausses notes, un jeu théâtral irréprochable, et la cerise sur le gâteau : BERTRAND SE FAIT ARRACHER SON CHANDAIL! La fin de la performance est acclamée, tu entends des tonnes de « Ils ont tout donné! », des « COMMUNICATIOOOON!!!! » ou encore des « Ooooh, qu’ils sont beaux…! » : il n’y a pas à dire, l’esprit de famille des Comm’ est au rendez-vous.

Finalement, le karaoké se poursuit avec toutes les autres facultés (qui à tes yeux sont clairement moins bonnes) et tu continues à enchainer les pichets de Tremblay en t’agitant sur les différentes chansons (plus ou moins reconnaissables…). Au moment de l’annonce du classement, tu es plein d’espoir. Malheureusement, ta team n’est pas dans le top 6. Communication n’a pas remporté la compétition. Mais comment est-ce possible? Malgré la déception, tu restes fair-play, mais surtout fier. Tu auras passé une super soirée, et tu auras assisté à la cohésion suprême des étudiants de communication : on est les premiers dans notre cœur et on le chantera jusqu’à la fin de notre bac!

Agenda culturel: février 2016

Voici 5 activités culturelles à ne pas manquer pour le mois de février !

1.    Re-Génération dans la Satosphère - 4 et 5 février, 20h, 15$

Situé au deuxième étage de la Société des Arts et Technologie, le dôme est un médium dédié à la création artistique et aux activités de création. C’est sur son plafond géant de 18 mètres que sera présenté un film réalisé dans le cadre de la COP-21. Présentée en première mondiale le mois dernier à Paris, cette réalisation immersive aborde de façon poétique l’importance de notre planète. Ce film invite le spectateur à comprendre le potentiel génératif de la vie à travers la technologie, l’art et la science. Un rendez-vous à ne pas manquer pour les passionnés de nature et de science!

2.    Jazz Cartier -  Le Belmont – 6 février – 20$

C’est au coin des rues Saint-Laurent et Mont-Royal que Jazz Cartier, rappeur torontois, s’arrêtera pour présenter son premier album Marauding in paradise. Jazz Cartier, de son vrai nom Jaye Adams, a été proclamé numéro 1 des rappeurs de l’année à surveiller par le site HipHopCanada.com. Cet artiste talentueux génère depuis peu de temps un réel engouement dans la scène Hip Hop. Une opportunité à ne pas manquer pour voir cet artiste qui pourrait fort bien devenir très connu.

3.    Nuit blanche à Montréal - 27 février

Dans le cadre de Montréal en lumières, la nuit blanche est de retour pour une 13e édition! Plus de 200 activités dans 138 lieux transformeront Montréal, le temps d’une nuit, en une immense fête. Spectacles, danse, théâtre, art souterrain et partys font partie de la programmation qui sera dévoilée le 9 février. Un grand avantage de cet événement est que le métro est gratuit et ouvert pour toute la nuit. Autre avantage : c’est l’événement idéal pour célébrer le début de la semaine de lecture (ou pour d’autres, semaine de congé)!

4. Kurt Vile - samedi 20 février - 20 h : 30, 31$

Kurt Vile sera de passage le 20 février au théâtre Corona Virgin Mobile. Ce chanteur philadelphien présentera son tout dernier album b’lieve i’m going down. Avec des arrangements riches, des textes fluides et une mélodie folk rock, ce sixième album est tout simplement irrésistible. Kurt Vile profitera sans doute ce se spectacle pour jouer quelques pièces au piano, un instrument très présent dans ses dernières chansons. À voir ! 

5. Jardin de réalité virtuelle – jusqu’au 31 mars – Gratuit

Nous entendons souvent que les casques de réalité virtuelle sont au cœur des nouveautés technologiques pour l’année 2016. Il est maintenant possible de vivre l’expérience de s’immerger dans un monde complètement différent en se rendant au Centre Phi. Cette exposition permettra aux visiteurs de visualiser quatre des plus marquantes œuvres de réalité virtuelle. En repoussant les limites de l’art et de la technologie, les réalisateurs abordent de grands enjeux de société du 21e siècle. Cette expérience vous transportera dans plusieurs régions du monde, notamment au cœur du Libéria et de la Jordanie.

Igloofest

21 h 18. C’est approximativement l’heure à laquelle nous sortons du bus, ma gang et moi. Enfin, je crois. Faut dire que j’ai un peu oublié ce début de soirée. But anyway, à peine les pieds dans la neige, le ton est lancé. Le cœur de Montréal bat son plein. Euphorie et décadence sont à l’honneur ce soir, on le sent. Si bien que, 10 minutes plus tard, je me suis surpris à sauter au rythme d’une foule déchaînée. Retour sur une soirée pour le moins mémorable.

GrandTheft, tu connais? Non? Tu devrais.

C’est sous le flow de ce célèbre DJ canadien, qu’a vibré le Vieux-Port de Montréal en deuxième partie de soirée, ce jeudi soir, sur la scène Vidéotron. Dans un mélange soigneusement orchestré de House Rap Trap & Bass, le public a su se laisser porter par cette vibe si particulière sifflée par les enceintes de l’Igloofest, pendant plus de 2 h. Tu sais, celle qui te rend sourd pendant 15 minutes à la sortie... Tu connais ton sort, but we don’t care, le son est maître.

Le festival est devenu en 10 ans l’un des évènements électros les plus attendus. Et ce n’est pas pour rien. Car oui, ce qui fait de l’Igloofest un endroit unique, c’est sa structure. Et personne ne me contredira sur ce point. Dès l’entrée sur le site, tu sens ces vibrations te bercer le creux de l’oreille sur 360 degrés. Tu sens la bonne soirée. Tout simplement. Hier soir, tu sentais surtout les drops infinis s’enchaîner les uns après les autres sans moindre mesure. La foule est en transe, moi avec, le pari est réussi. Que demander de plus? Avec des effets visuels continus projetés sur des conteneurs qui te donnent l’impression d’être sous hallucinogènes pendant tout le set, ton corps est littéralement dans un état second. Tu fermes les yeux. Et tu te laisses porter.

Mais il faut reconnaître aussi que la performance est vraiment bonne. C’est fluide, soigné, et les transitions sont recherchées. GrandTheft a su imposer son style sur de gros tubes tels que Summer ou encore Heroes tout au long de la soirée pour un public venu l’acclamer par -10 °C. En collaboration régulière avec de grands artistes internationaux tels que Diplo ou Keys N Krates, et producteur officiel pour de gros labels tels que Dim Mak, Young Money, l’influence Trap& EDM - Electro Dance Music - est fortement présente. C’est ce que nous sommes venus chercher, nous sommes repartis comblés.

Next stop, 6 février, 22 h 30, pour le célèbre producteur/compositeur français Brodinski.

Le Carnaval, c'est aussi du sport!

À l’occasion du Carnaval, des tournois inter-facultés sont organisés pour trois sports : le flag-football, le ultimate frisbee et le soccer.

Quoi de mieux qu’une bonne partie de soccer ou de foot pour se remettre en forme après les vacances des fêtes? En arrivant au deuxième étage du CEPSUM, les membres de l’équipe de communication se faisaient rares. Seulement cinq courageux étaient prêts à affronter l’équipe de chimie, qui elle, semblait prête à faire un carnage.

18 h 40 : La panique se fait sentir au sein de la troupe de jeunes communicologues. 18 h 45 : L’échauffement tire à sa fin et seulement cinq étudiants à se passer le ballon. 18 h 49 : Les sauveurs arrivent en trompe prêts à affronter l’adversaire. Nous sommes maintenant huit et nous sommes remplis de bonne volonté. Un regain d’énergie s’empare de l’équipe. Pas le temps de s’échauffer pour les nouveaux arrivés, au jeu!

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La compétition sera féroce et sans pitié (ou pas). Les deux équipes s’installent sur le terrain afin de commencer la partie. Le froid est présent, mais vite disparu après quelques allers-retours à courir après le ballon. Malgré le terrain propice aux embûches, le plaisir et la rigolade sont au rendez-vous. Avec une gardienne des buts implacable, des attaquants au cardio infatigable et des joueuses ayant le cœur à la rigolade, ce défi du Carnaval fut un flop total sur le tableau des points, mais un franc succès pour l’amusement sur le terrain.

Cette partie terminée, toute l’équipe entre pour se reposer et reprendre son souffle. L’entracte grandement mérité de tous et toutes, permet de se détendre et de prendre quelques gorgées de courage alcoolisé avant de repartir sur le jeu.

« Let’s go communication et bonne chance! » sont mes derniers mots avant de quitter mon équipe qui est déjà en échauffement pour une seconde fois avant d’affronter l’équipe de médecine dans un match nocturne d’ultimate frisbee. Après tout, comme on dit, l’important ce n’est pas de gagner, mais c’est de participer!

Laser-Quest

Jeudi 22 février, 20 h. Deux représentants de chaque association étudiante sont conviés au Laser Quest Montréal, afin de livrer une bataille sans merci. Lucas Jouin et Melvin Laur se sont portés volontaires pour représenter notre programme et, évidemment, tenter de décrocher la victoire.

Je les rejoins à l’entrée du Laser Quest, puisque je souhaite en apprendre davantage sur leur passé de combattant. Un détail que j’ignorais est que chaque participant devait être costumé. Je retrouve donc Lucas déguisé en éléphant et Melvin en renne.

Bref, je leur demande s’ils ont déjà joué au Laser Quest. Lucas déclare n’avoir jamais essayé. Melvin annonce qu’il a joué il y a dix ans (Lucas renchérit en disant qu’en fait, c’est comme si c’était non).  Ce n’est pas grave, puisque seule leur motivation pourrait bien leur permettre de gagner cette bataille. D’ailleurs, Melvin mentionne : « Quand je vois la tronche de nos adversaires, franchement je n’ai pas peur ».

Ils n’ont pas vraiment de stratégies, ça va se faire au feeling. Ils vont tâter le terrain et voir ce qu’ils peuvent faire pour préparer le combat. Selon eux, c’est la clé de la réussite. Quand je leur demande s’ils sont venus pour s’amuser ou pour gagner, Lucas affirme qu’il est « clairement venu pour s’amuser. Mais après, gagner c’est cool ». Melvin, pour sa part, déclare : « Moi je veux gagner. Je veux que Communication soit fière de ses deux élus. Je veux que nos noms soient acclamés lundi quand on ira en cours ». Une attitude de vainqueur!

Avant de jouer, il faut s’enregistrer. Lucas devient Luluolio, Melvin; Melvinito. Un membre du personnel me demande si je veux jouer. Même si mes points ne compteront pas pour le carnaval, je suis heureuse de participer. En raison du nombre important de joueurs, il y aura deux vagues. Nous sommes dans la deuxième.

Lorsque c’est notre tour, nous nous dirigeons dans une petite pièce. Une main sur le cœur, nous devons clamer à voix haute que nous suivrons toutes les consignes. Puis, nous allons enfiler notre équipement et la partie commence. Tous se dispersent, essayant de trouver LE meilleur endroit. C’est une partie solo, aucun allié. Les lasers surgissent de partout et il est difficile de se cacher sans être repéré. Après 15 minutes, nos fusils sont désactivés, signe que la partie est terminée. Nous sortons afin de découvrir les résultats. Sur 32, Lucas se classe au 17ème rang, moi au 18ème et Melvin au … ème. Le combat n’est pas terminé, il reste deux autres parties.

La deuxième partie est une partie nommée « apocalypse ». Habituellement, lorsqu’on se fait toucher, nos fusils se désactivent cinq secondes. Là, aucune désactivation. Après 15 minutes, la partie se termine. Le pointage annonce que je me suis classée au 13ème rang, Lucas au 14ème et Melvin au 23ème. Tout n’est pas perdu!

Je ne participe pas à la troisième partie, mais nos deux représentants y vont, encore plus motivés que jamais. Melvin fait une montée fulgurante, se classant au 8ème rang. Lucas se classe au 21ème rang. Au final, l’AÉCUM se classe 17ème sur 31!

Même s’ils n’ont pas décroché la victoire, ils sont satisfaits de leur performance. Lucas est content « parce qu’il a bien répondu aux coups qu’on lui a mis dans la tronche ».  Bref, ils ont tout donné et on peut quand même les féliciter pour leur bon travail!

Critique du film Joy

Critique du film Joy, réalisé et écrit par David O. Russell.

En m’installant sur mon siège de cinéma, je pensais visionner un film de famille rempli de joie. Ce que j’ai ressenti tout au long du film était bien plus que de la joie.

En fait, Joy est un film semi-autobiographique. Il relate la vie de Joy Mangano, jouée par Jennifer Lawrence, le génie à l’origine de la « Miracle Mop ». Le film débute sur l’histoire d’une petite fille pleine d’imagination qui semble vivre un conte de fées. Sa grand-mère est adorable, ses parents sont heureux et Joy est pleine de confiance. Malheureusement, le conte de fées avait une date d’expiration. Maintenant mère célibataire, vivant sous le même toit que ses parents divorcés, et son ex-mari, Joy ne vit pas la vie qu’elle a toujours voulue. Amère et épuisée, elle n’arrive pas à digérer la vie qu’elle mène jusqu’au jour où une brillante idée lui vient. À présent motivée à concrétiser son idée, Joy ne recule devant rien pour prouver à son entourage qu’elle est apte à devenir la personne qu’elle mérite de devenir.

Je tiens à mentionner que Jennifer Lawrence interprète Joy Mangano à la perfection. Je pouvais facilement m’identifier à elle. Je ressentais sa frustration, sa peine, sa joie, sa détermination et son espoir. Robert de Niro tient le rôle de son père, Rudy Mangano, un homme amusant, mais exaspérant à certains moments. Bradley Cooper incarne Neil Walker, l’homme qui aidera Joy à faire connaître son produit. Décidément, ce trio est la combinaison parfaite pour réaliser des œuvres marquantes.

S’il y a bien un mot qui m’est resté à la fin de la projection, c’est le mot : « Détermination ». Joy était déterminée à vendre son produit et à prouver à tout le monde qu’elle était compétente. Elle n’a jamais abandonné malgré le pessimisme de son entourage et les nombreux obstacles qui se dressaient devant elle. Il y a plusieurs leçons à tirer de ce film. Le plus important est : personne ne peut vous faire sentir inadéquat sans votre consentement.

Maintenant âgée de 59 ans, Joy est à la tête d’un empire valant plus de 3 milliards de dollars. En plus d’avoir inventé la « Miracle Mop », elle est également à l’origine des « Huggable Hangers », un produit appuyé par Oprah, et apparait régulièrement sur la chaîne Home Shopping Network (HSN).

Je suis sortie de la salle de projection, motivée à accomplir de grands exploits. Si vous avez l’espoir de devenir entrepreneur, si vous voulez être inspirés ou si vous voulez simplement visionner un bon film, allez donc voir Joy!

Il y a une semaine, la victoire

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Il s’appelle Karl. Il est étudiant en Communication. Et aujourd’hui, on le surnomme le mec avec les gros abdos ou le dude qui fait des C.

Voici son histoire et la nôtre.

La honte
L’an dernier, notre programme a été disqualifié de la plus grande compétition inter-facultés de l'UdeM: le carnaval. Pourquoi? Aucune participation.

L'annonce du défi
Un an plus tard, nous sommes tous là, réunis au Cabaret La Tulipe, et nous constatons l'épreuve qui nous attend. Un d'entre nous devra se sacrifier. Mais qui peut résister à un savoureux mélange de mayonnaise, moutarde, crème sure, céréales, ketchup et champignons?

Le festin
Karl vient de terminer sa pratique de soccer et il a faim. Il se propose. Pendant son défi, il nous fixe. La faim, on la voit aussi dans ses yeux. Il aperçoit un de ses compétiteurs torse nu en slip de Tarzan. Il se dénude à son tour. Sans gêne. Pourquoi en aurait-il? 48 secondes plus tard, il a fini…son défi, son show. On se serait cru au 281. Le délire. La joie. La folie. 

Les réactions de Karl
« Les champignons étaient une belle surprise. »
« J'ai fait ce que je fais de mieux: manger. »
« Je déteste rien à part les betteraves! »
« Je suis un étudiant qui ne refuse pas un repas gratuit. »
Quatre citations, un seul et même homme.

L'annonce du gagnant
Oups…Il y a 4 vagues finalement. D’autres prétendants montent sur scène. La victoire n’est pas assurée. Oh well… La crainte se révèle…non justifiée. 
Le décompte défile. La cinquième position, et puis la quatrième, la troisième, la deuxième... et finalement la première...COMMUNICATION.  COMMUNICATION. COMMUNICATION.

Le constat
Cette année, pour l’ouverture du Carnaval, nous avons gagné. De la disqualification à la victoire.

Et Karl dans tout ça?
Depuis le 11 janvier dernier, il est fier. Son sourire charmeur ne décolle plus de son visage. Il se sent reconnu. Et reconnait plus que jamais son programme. Notre programme. COMMUNICATION.

Une nouvelle session: de nouvelles habitudes

Une nouvelle session débute. La pression de la dernière session a disparu. La neige est enfin tombée. On a déjà hâte aux vacances d’été. Avant d’y arriver, il faut affronter la session d’hiver. Voici quelques habitudes qu’il serait bien de développer afin d’accumuler plusieurs succès.

Avoir un agenda

C’est bien de penser que notre mémoire peut se souvenir de tout, mais c’est faux de penser ainsi. Ayez toujours en votre possession un agenda dans lequel noter vos devoirs, vos dates d’examens, vos rencontres de groupes, vos horaires de travail…Cela réduira votre anxiété de manière exponentielle et vous n’aurez plus à penser à tout ce que vous avez à faire. N’oubliez pas que l’organisation est la clé !

Prendre soin de soi

La santé avant tout ! Un esprit sain dans un corps sain. Mangez bien, prenez le temps de dormir, faites du sport, et buvez beaucoup d’eau. Entourez-vous de gens positifs. Apprenez à dire non. Écoutez votre corps !

Diviser son travail

Travaillez un peu tous les jours. Divisez la matière à étudier en plus petites parties. Étudiez deux chapitres par semaine, par exemple, et dites adieu aux nuits blanches juste avant les examens. C’est totalement possible de réussir tous ses cours en obtenant d’excellents résultats tout en ayant ses sept heures de sommeil toutes les nuits.

Commencer dès le début

Dès le premier cours, si l’enseignant vous donne des lectures, faites-les. Faites de votre mieux pour être à jour dans toutes vos matières. Il n’y a rien de pire que de lire l’équivalent de cinq semaines de textes en une semaine parce qu’on se disait qu’on avait le temps avant les examens de mi- session. Gardez à l’esprit que le temps continue d’avancer même lorsqu’on ne fait rien.

Une chose à la fois

Ne commencez pas la session en pensant à la mi- session, à la fin de session ou à la quantité de travaux à rendre tout au long de la session. Prenez les choses une à la fois. Ça ne sert à rien de se stresser dès le début. Nous allons atteindre la ligne d’arrivée éventuellement.

Assister à ses cours !

Ce n’est pas toujours amusant de se lever tôt le matin, affronter 30 cm de neige et -25 de température pour assister à un cours à 8h30 un lundi. Comme le dit Cal Newport, les seules raisons qui l’empêcheraient d’assister à un cours sont s’il fait 105 de fièvre, s’il doit se rendre à L.A. pour accepter un Oscar, ou si sa jambe est prise dans un piège à ours. En d’autres mots, TOUJOURS ASSISTER À SES COURS ! Pour bien assimiler la matière, rien de mieux que d’être entouré d’autres étudiants, d’écouter le professeur et de poser des questions lorsqu’on ne comprend pas bien une notion.

Croire en soi

Avant tout, il est extrêmement important de croire en soi. Les personnes couronnées de succès croient en eux, ont confiance en leurs capacités et ont foi en leur avenir. Levez-vous chaque matin, regardez-vous dans le miroir et dites-vous que vous êtes des êtres humains fantastiques et que vous allez faire de votre mieux pour réussir tout ce que vous allez entreprendre.

L’avenir vous appartient !

Passez une excellente session !

Wappiti: faire une différence pour la planète et son portefeuille!

L’automne dernier, je cherchais un stage qui correspondrait à mes valeurs afin de gagner de l’expérience dans un domaine stimulant. Wappiti Ltée, une entreprise sociale encourageant la consommation responsable, m’a accueillie, et ce, depuis maintenant quelques mois.

Qu’est-ce que Wappiti?

Wappiti est une plateforme collaborative facilitant l’échange, la vente et le don de biens et de services. Il s’agit d’une sorte de Kijiji social. On peut s’y inscrire et publier ses propres annonces gratuitement! Wappiti offre également des profils spécifiques pour les OBNL et s’engage à leur remettre une partie de ses profits. 

L’utilisation est simple : il suffit d’indiquer dans la section offre ce que vous avez en trop et que vous n’utilisez plus, puis écrire dans la section demande ce dont vous avez besoin. Le système d’automatisation de la plateforme formera instantanément des liens entre les offres et les demandes en commun.

Exemples de biens et services à annoncer :

À offrir :

-Les livres d’écoles que vous n’ouvrirez plus jamais!

-Ce vieux téléphone ou cet ancien Ipod que vous avez remplacé par un plus performant

-Des services de graphisme, de correction ou de traduction de textes

À demander :

-Une paire de patins ou des skis pour profiter de l’hiver qui arrive

-De beaux habits à mettre lors du Vins et fromages ou du Bal des finissants

-Des services de photographie pour avoir une belle photo sur votre profil Linkedin

Exemples d'avantages pour les étudiants

- Gagnez du temps

Nul besoin de chercher longtemps et quotidiennement ce que vous désirez avoir sur tous les sites de petites annonces; grâce au système de jumelages automatiques, vous recevrez une notification lorsque quelqu’un annoncera ce qu’il vous faut.

- Assurez la durée de votre annonce

Lorsque vous publiez une annonce de vêtements par exemple, celle-ci ne se perdra pas dans les archives de la page comme sur les groupes d’échange Facebook. Vous n’aurez pas à payer non plus pour que votre publication soit vue par les bonnes personnes. Aucune date d'expiration. 

- Économisez :

Procurez-vous ce que vous aviez l’intention d’acheter sans débourser un sou grâce à ce qui demeure inutilisé chez vous.

Wappiti est un projet émergent. La plateforme est en ligne depuis un mois seulement!

Pour s’inscrire, c’est ici.

 

Les 10 leçons à retenir du Réseautage

Jeudi soir dernier, au deuxième étage du Pourvoyeur, une soixantaine d’étudiants en Communication ainsi qu’une dizaine de professionnels se sont réunis pour échanger : des paroles, des conseils et des cartes d’affaires! Voici les 10 leçons à retenir de la soirée.

Le président de l'AÉCUM, Jérémy Pratz, adore les réseautages!

Le président de l'AÉCUM, Jérémy Pratz, adore les réseautages!

Leçon numéro 1 de ce plus récent réseautage organisé par l’AÉCUM? Les professionnels aiment les étudiants qui VEULENT un stage et qui n'ont pas peur de le dire. « Voici mon nom. Quel est le vôtre? Que faites-vous dans le cadre de votre travail? Cherchez-vous des stagiaires? Avez-vous une carte d’affaires? » Voilà. Simple et efficace.

Leçon numéro 2. Il faut être sur LinkedIn. C’est essentiel même pour des étudiants au baccalauréat. On est en 2015, presque en 2016! Il faut maîtriser LE réseau.

Les leçons 3, 4 et 5 nous seront offertes par trois conférenciers qui ont pris la parole durant le réseautage. Ce sont les merveilleux et extraordinaires (on veut les revoir) :

-Alain Bidjerano, directeur des communications interactives chez Radio-Canada.

-Marie-Chantal Pelletier, consultante en communication et rédactrice à la pige.

-Julie Bourbonnière, directrice du marketing et des communications chez Moisson Montréal.

Leçon numéro 3. Mme Bourbonnière croit que la clé en Communication se situe au niveau des connaissances générales. Il faut s’intéresser à tout. Autant à la politique qu’au divertissement, et donc au nom de l’animatrice du Banquier… une possible question d’entrevue!

Leçon numéro 4. Mme Pelletier a, quant à elle, insisté sur l’importance d’être humble. En tout temps. En stage, nous avons le privilège de nous joindre à une équipe déjà en place et complètement fonctionnelle. On connait Marshall McLuhan. Wow! Big deal. Nos maitres de stage, eux, connaissent leur organisation.

Leçon numéro 5. M. Bidjerano nous encourage fortement à ne pas nous lancer sur la première opportunité qui se présente. Il faut choisir des projets dans lesquels on croit. Sinon, le temps sera long. Très long.

Leçon numéro 6. Envisager de travailler pour des organismes est une bonne idée. Ils ont des plus petites équipes et ils te veulent vraiment!

Leçon numéro 7. C’est normal de ne pas tout savoir. Mais il faut travailler fort pour ne pas le montrer. On peut admettre nos connaissances imparfaites, tant qu’on s’engage à ce qu’elles deviennent de plus en plus… parfaites. C’est peut-être une bonne idée aussi d’apprendre à faire un plan de communication pendant ses études…

Leçon numéro 8. Entretenir de bonnes relations avec Frédéric Truax est un bon début. Comment résister à ce sourire?

Leçon numéro 9. « Le plus intelligent se trouvera toujours une place. » Êtes-vous rassuré?

Leçon numéro 10. Ce n’est pas une bonne idée de prendre une photo avec un flash ultra fort au tout début d’une conférence.

Party de mi-session

Dimanche 18 octobre 2015. 21 h 30. Fitzroy. 551, Mont-Royal Est (à même pas une minute du métro, on aime ça!) La soirée commence lentement. Les premiers étudiants arrivent chics à une fête mondaine. Quatre associations sont présentes : l’AÉSPÉIUM, l’AÉÉPUM, l’AÉÉSÉUM (bref, Sciences politiques, Économie, et Économie politique) ainsi que l’AÉCUM! Ouais, j’aime notre nom d’association en Communication. Il est court et concis, la classe quoi.

Au début, on se dévisage. On reste avec nos amis si on en a. On reste avec notre programme aussi, question de se rassurer. La salle est grande, tellement grande que ça peut faire peur un peu quand même. Alors, pour se mettre à l’aise, on met à profit nos coupons reçus en début de soirée, qui nous permettent de prendre, pas un, mais bien deux coups! Des coups originaux, en plus, et pas seulement de la bière (vodka-canneberge, svp!).

On se détend, on rit. Certains vont jouer au baby-foot pour 1 $. D’autres s’essaient au billard pour 5 $... Et finalement, il y a ceux qui se contentent de parler. Mais, plus la soirée avance… plus les langues se délient, plus les sourires apparaissent et plus les portes-monnaies s’amincissent…

Lundi 19 octobre 2015. 2 h du matin. Journée des élections fédérales. La déchéance. Tout le monde danse. « Tu es dans quel programme? » n’est plus une question pertinente. La question devient plutôt : « On peut avoir une photo? », pour mon plus grand plaisir de photographe.

Quant au thème de la soirée, parce que oui il y avait un thème (les gens ne se sont pas bien habillés pour rien!), le casino, et bien disons qu’il y avait des tables pour jouer au poker. Par contre, je n’ai pas vu beaucoup de gens y jouer, on était plus occupé à faire la fête. Et c’est très bien comme ça.

En terminant, merci à Valeria Saavedra, qui a été photographe ce soir-là avec moi pour le COMMEDIA.

On se revoit bientôt dans un autre événement!

Le Jardin des lumières

Le vendredi 9 octobre 2015, l’Association des Étudiants en Communication de l’Université de Montréal a organisé une sortie au « Jardin des lumières » du Jardin botanique. Magie, lumières, rires et chansons. Un ensemble qui nous a permis de passer un moment inoubliable. Petits souvenirs de ce moment haut en couleur.

Pour Caroline Streuli, coordinatrice à la vie étudiante senior, « le but de cette rencontre était d’organiser un événement qui diffère des soirées habituelles ». En effet, le but de cet événement était de rapprocher les personnes. Les jardins de lumière étaient essentiellement constitués de décorations asiatiques. Dragons, maisons chinoises, tatamis, origamis... Tout était en place pour nous permettre de nous évader de notre train-train quotidien et de nous émerveiller devant une culture connue, mais toujours aussi attractive.

Les effets de lumière nous ont permis de voir la culture asiatique sous un autre angle. Tout comme les musiques envoûtantes, qui rappellent le très célèbre long métrage d’Ang Lee « Tigre et Dragon ».

Mais est-ce que la visite du jardin des lumières est le seul événement culturel organisé par l’AECUM?

« Laurie-Ève, qui est CVE junior, et moi prévoyons organiser une sortie au Planétarium ou encore au Biodôme. Je pense que ça peut être des événements intéressants pour les étudiants en communication », d’après Caroline Streuli.

En attendant l’article et les photos du party de mi-session, voici une petite vidéo du jardin des lumières.

J'va te parler du CAFCOM, c'est full beau!

Il fallait voir la fierté dans les yeux de Safa Hammoud, responsable du CAFCOM, quand elle s’est assise à mes côtés dans son café. Étudiante en 2e année, elle avoue connaitre l’existence même du café depuis moins d’un an. En fait, le CAFCOM est encore pour plusieurs étudiants un secret bien caché. Mais, pour être, moi-même, une habituée, dès que tu t’y inities… tu reviens. Et avec la détermination de son équipe, formée de dix bénévoles, le café est voué au succès.

« Le CAFCOM, c’est mon bébé, je veux le voir grandir » me dit Cecilia Bautista, responsable, elle aussi, du café étudiant. Elle me parle derrière son comptoir, affairée à la réalisation d’un grilled-cheese. MON grilled-cheese : cheddar marbré et brie.

Le grilled-cheese à 1.50 $, c’est LE fait saillant du menu proposé au CAFCOM, qui améliore présentement ses produits tout en offrant le meilleur rapport qualité-prix au pavillon. En plus du fromage Kraft, 4 autres fromages délicieux sont offerts pour combler nos appétits d’ogre : le brie, le cheddar, le cheddar marbré et la mozzarella. « Le grilled-cheese du CAFCOM : peut-être imité, mais jamais égalé » : me dit Safa, qui avoue vouloir faire de son café le meilleur café étudiant.

En fait, Safa aime s’exprimer avec des phrases clichées (pour rire!). Elle me présente donc SA nouveauté qui prône la santé et la qualité : le smoothie! « As-tu utilisé le mot prône Stella? Utilise le mot prône » : me dit-elle. Pour les intéressés, il est seulement 3 $.

Bon. C’est bien beau la bouffe. Mais, le CAFCOM, on y va aussi pour l’ambiance. Idéal pour faire des travaux d’équipe et idéal aussi pour se faire des amis. Les projets à court terme du café s’orientent aussi dans cette perspective. Le café vient tout juste d’être rénové, mais Safa et Cecilia parlent déjà de l’améliorer. Encore. Toujours.

Ah, en passant, elles sont à la recherche de bénévoles et elles veulent des likes sur leur page Facebook. Donc, allez voir ça. Sur Facebook et en personne au D-228.

Vous pouvez contacter Safa et Cecilia via Facebook et via courriel à l'adresse suivante: cafcom.udem@gmail.com

Cecilia et Kiara en pleine préparation

Cecilia et Kiara en pleine préparation

Les 4 à 7

5385, avenue Gatineau à Montréal. Comment? Quoi? Vous ne connaissez pas ce lieu!? C’est à cette adresse que se déroule la rencontre hebdomadaire du « 4 à 7 » des étudiants en communication. Ainsi, tous les jeudis, bières et rires à la bonne franquette sont aux rendez-vous. Ce jeudi 24 septembre 2015, COMMEDIA en a voulu en savoir un peu plus sur cet évènement festif et riche en rebondissements.

Tout d’abord, il faut savoir que la Maisonnée est un resto-bar sur Côte-des-Neiges établi depuis plus de 40 ans qui fait partie intégrante du campus universitaire. Des générations et générations d’étudiants ont côtoyé ses lieux. Pour Jérémy Pratz, président de l’Association de communication de l’Université de Montréal, la Maisonnée est avant tout un « centre de rencontre traditionnel ».

« C’est dans ses lieux qu’on peut connaitre l’histoire de chaque personne. Que des liens se créent que ça soit amitié ou plus encore. »

COMMEDIA s’est interrogé sur la manière d’attirer le plus grand nombre d’étudiants à ses fameux « 4 à 7 ». Bien entendu nous vivons à l’air du numérique et Facebook reste la manière la plus efficace d’attirer les étudiants. Mais y a-t-il d’autres facteurs?

« Certes les réseaux sociaux restent importants pour les évènements à venir, mais un autre facteur à prendre en compte, c’est les initiations, qui se sont déroulées le 27 août 2015. La majeure partie des personnes qui viennent à nos “4 à 7” étaient déjà présentes aux initiations. »

Mais pour Lia Ferranti, vice-présidente et responsable académique Senior de l’AECUM : « C’est là où tout commence et que tout finira! C’est ici que j’ai fait mon premier karaoké devant des centaines de personnes. En clair le “4 à 7” j’adore! »

En effet, cet évènement à l’air de posséder tous les prérequis pour passer des soirées inoubliables. Mais possède-t-il des inconvénients?

« Peut-être le lieu qui est assez éloigné de certaines personnes. Mais il faut savoir aussi que la Maisonnée ne possède pas assez de places pour accueillir un nombre important d’étudiants. “Par exemple si on est une centaine, voir plus, il faudrait limite privatiser le Bar” d’après la vice-présidente.

Un dernier mot pour la fin?

“Profitez à fond de vos années universitaires. Que ce soit avec l’Association ou avec vos amis. La communication c’est la vie, c’est les contacts. Nous faisons partie des meilleurs programmes de l’Université. Nous sommes vraiment bien formés. Les professeurs sont là pour nous. En clair, profitez à fond de votre vie étudiante”

Voilà qui est fait! Donc, n’oubliez pas les évènements “4 à 7” organisés par l’AECUM qui se déroulent tous les jeudis.


Qui sommes-nous?

Nous sommes en Communication. Nous aimons donc communiquer. Mais notre journal étudiant est mort.

La dernière phrase est triste et inacceptable. Aujourd’hui, on vous propose donc une résurrection. Le COMMEDIA revit. Notre journal revit.

Hi! C’est une présentation assez dramatique pour un journal qui se veut moderne, joyeux et dynamique…

Alors, parlons-en de ce journal. Ou plutôt de ce webmagazine. Notre vieux journal (25 ans quand même!), le COMMEDIA, vit maintenant uniquement sur le web. En fait, nous sommes même des précurseurs dans le domaine de la presse écrite… on devance même La Presse! Bon, on a quelques petites croutes à manger quand même avant de se comparer à La Presse là…

Notre mission? Vous informer et vous divertir.

Oui. Nous servons de relais d’informations entre vous, les étudiants, et vos représentants de l’AÉCUM. Affaires académiques, vie étudiante, comité sport, CAFCOM, etc. Nos représentants ne vont pas se gêner pour nous faire travailler dans les prochains mois…

Mais nous avons quand même une personnalité aussi! Des billets d’humeur seront publiés régulièrement sur le site, ainsi que toute nouvelle pertinente touchant le domaine des communications. On va aussi aller dans les partys. Alors, préparez-vous… nos appareils photo sont toujours prêts à immortaliser vos plus beaux visages (on demande la permission quand même…)

Depuis le début du billet, j’emploie le mot « nous ». Qui est ce « nous »?

D’abord… c’est moi : Stella Dupuy, étudiante au baccalauréat en Communication. Je suis une passionnée des médias, une animatrice de radio, une amie et la corédactrice en chef du COMMEDIA.

Et… c’est aussi lui : Emmanuel Fernandes, étudiant à la majeure en Communication. Il est un passionné des mots, un photographe hors pair, un ami et le corédacteur en chef du COMMEDIA.

Le « nous » c’est vous aussi. Nous allons procéder à un appel à tous à la fin octobre pour constituer une équipe de rédacteurs.

 Bon c’est ça, entres autres, le COMMEDIA.


Assemblée générale électorale : le grand tutoriel

Dans quelques jours arrive l’Assemblée générale électorale d’automne. Certains d’entre vous sont familiers avec le processus, mais comme nous sommes en début d’année, tu fais surement partie de ceux qui viennent juste d’arriver en communication, tu es nouveau membre de notre association, mais tu ne sais pas comment elle fonctionne. Ça tombe bien, je suis là pour t’expliquer tout ça.

Découvre ton association étudiante.

Avant de devoir comprendre comment fonctionne une Assemblée générale électorale, il te faut d’abord comprendre ce qu’elle signifie et son importance au sein de l’AÉCUM, ton association.

Qu’est-ce que l’AÉCUM?

C’est une question bête et simple, mais pourtant incontournable. L’AÉCUM est l’Association des étudiants en communication de l’Université de Montréal, c’est-à-dire qu’à partir du moment où tu es étudiant au Baccalauréat, à la Majeure ou à la Mineure en sciences de la communication, tu es membre de l’association au même titre que plus de 500 autres étudiants. L’Association a plusieurs missions, elle fait en sorte que tes études se déroulent pour le mieux, que tu passes de bons moments avec tes collègues de communications, que tu découvres la communication au-delà du cadre universitaire et que tu réussisses à t’intégrer dans le milieu du travail.

Qui fait fonctionner l’AÉCUM?

L’association est gérée par des exécutants et assistée par des comités qui sont tous deux élus lors des Assemblées générales électorales soit au début de la session d’automne, soit à la fin de la session d’hiver.

Les exécutants s’occupent de trois domaines phares : les affaires académiques, les affaires externes et la vie étudiante. De plus, certains exécutants s’occupent de l’administration de l’association et du soutien aux autres exécutants, ce sont la présidence, la vice-présidence, les finances, le secrétariat et les communications.

Qui prend les décisions?

C’est vous, membres de l’AÉCUM, qui prenez les décisions, et par deux biais différents. Si une proposition est d’ordre courant, elle sera votée par le Conseil exécutif où siègent les exécutants que vous avez élus pour vous représenter et le Cafcom. Mais si la proposition est d’ordre exceptionnel comme une modification de la charte ou une élection, c’est l’assemblée générale, où vous siégez tous, membre de l’AÉCUM, qui en prendra la décision.

L’Assemblée générale électorale

Maintenant que tu as été présenté à l’AÉCUM, il est temps de parler des élections. Jeudi prochain à 11 h 45 en salle B-3215 du pavillon 3200 Jean-Brillant, se déroulera l’Assemblée générale électorale où tu auras, comme membre de l’AÉCUM, le droit et le devoir de choisir ce qui vont te représenter cette année à l’association, mais aussi ou tu pourras t’y présenter comme candidat pour rejoindre soit un comité ou le conseil exécutif.

Comment se présenter comme candidat?

À chaque Assemblée générale électorale, plusieurs postes sont ouvertes aux élections, tu peux découvrir ceux qui sont ouverts en ce moment en cliquant ici. Chaque poste ouvert a plusieurs taches spécifiques à réaliser qui vient répondre à la mission de ta fonction, tu peux les découvrir en tout temps dans la charte de l’association. Si tu t’intéresses à un poste, n’hésite pas à contacter la personne qui occupe ou occupait ce poste avant toi pour obtenir d’avantage de renseignements. Ensuite, si tu es prêt, il te suffit de déposer ta candidature sur le babillard de l’association au pavillon Marie-Victorin ou sur notre formulaire en ligne et de te présenter le jour des élections avec cinq noms et signatures de membres de l’association qui soutiennent ta candidature.

Lors de l’Assemblée, tu seras invité à t’exprimer pendant deux minutes face aux membres de tes motivations et de ce que tu penses pouvoir apporter aux membres, puis pendant deux à cinq minutes environ l’Assemblée aura l’occasion de te poser des questions. Pendant tout ce temps-là, tes opposants seront mis à l’écart jusqu’à ce que tu sortes à ton tour pour les laisser s’exprimer.

Comment voter?

Au début de l’Assemblée générale électorale, on te distribuera papiers et crayons sur lesquels tu noteras toutes les personnes pour qui tu souhaites voter. Tu as le droit à une voix par poste ouvert. Les postes de rédacteurs du COMMEDIA étant ouverts pour deux personnes, tu seras en mesure d’écrire deux noms sur ta fiche de vote. À la fin de toutes les présentations, tu remettras anonymement au présidium la liste de tous ceux pour qui tu as voté, et le conseil exécutif procèdera au dépouillement.

Tu sais maintenant comment voter, nous t’attendons toi et tous les membres de l’AÉCUM pour décider de l’avenir de votre association ce jeudi 17 septembre à 11 h 45 en salle B-3215 du 3200 Jean-Brillant.